vendredi 10 avril 2009

Premières impressions de Buenos Aires

Voila deja une semaine de passée. Une semaine à me perdre dans Buesnos Aires, et comme me l'avait indiqué Michel, ce n'est pas ici que je serai dépaysé. La vértité, c'est que Buenos Aires ressemble à m'importe quelle grande capitale européenne.
Le trafic est ici simplement terrible, certaines voitures d'un autre age circulent encore. Je croise ici plus de Peugeot 504 qu'en Tunisie et d'autres voitures de marques américaines guère plus recentes. Le système de réglage des moteurs, doit être le même quelque soit le vehicule: moto, voiture, autobus, camion, ca se fait à l'oreille. Il s'agit de trouver le meilleur compromis dans les différents paramètres pour s'arrêter quand le moteur fait le plus de bruit et de fumée (noire de préference), La le moteur est bien réglé et fonctionne de manière optimale. Le moment où il faut se poser des questions c'est quand ca me fait plus de bruit. Un attroupement de 4 ou 5 personnes se constitue autour de la voiture, la capot du moteur ouvert et cherchent la cause de ce soudain silence... Ca surprend. La première fois j'ai cherché l'enseigne d'un garagiste, mais rien dans le voisinage proche. C'est plus tard que j'ai compris qu'on repère plus facilement un garagiste à l'odeur de l'huile de vidange qu'a son enseigne...
Pendant cette semaine, j'ai aussi testé le bus. La ligne 60 passe dans la rue où j'habite. Je l'ai prise un peu par hasard, et j'ai eu de la chance, le bus aller dans la bonne direction. Je n'ai pas encore compris comment le réseau de bus fonctionne. J'ai encore besoin de quelques cours d'espagnol et me le faire expliquer par un local, parce que les qqn autres toursites que j'ai croises sont au même niveau d'incompréhension du système que moi. En prenant ce bus, sur un trajet de 10 minutes, j'ai pu illustrer le mot espagnol "loco". Des accelerations dignent de ma petite moto, des coups de freins, zigzags. Au prochain carrefour, le feu vient juste de passer au rouge, le chauffeur accelère, accelère, accelère ( il faut imaginer le bruit et la fumée) jusqu'au dernier moment pour s'arreter, freins bloqués, dans un bruit "metal sur metal". Il a une maîtrise parfaite de son véhicule, il n'a même pas mordu sur le passage pieton, sauf qu'il ne conduit pas une F1 mais un bus, bondé de surcroît ... On m'a parlé des chauffeurs de taxi qui se prennent pour Fangio, ceux-ci sont des petits joueurs comparés aux chauffards de bus...

Aujourd'hui, c'est décidé, c'est en subte (metro) que j'irais visiter le jardin japonais, dans le quartier de palermo ...

2 commentaires:

  1. ça sera plus cool en vélo!
    Cath

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  2. hey bonjour Steph !
    on pensait à toi et au bateau ces temps ci.. on se demandait si tu etais de nouveau sur les flots.. ben on a la reponse !
    bonne chance dans ton periple
    waouh ca c'est une nouvelle qui fait rever
    gros bisous
    à bientot
    noelle et greg

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