samedi 30 mai 2009

Colon - Carlos Pellegrini en photo

De l'autre cote du pontLa plage de Colón




Une portion de route entre Colón et la route 14, 5km a la sortie de San José. C'est ce qui m'a fait renoncer au parque national El Palmar

Une petite pause le long de la route 14



Enfin la route 119




vendredi 29 mai 2009

San Ignacio

Et une journée de vélo de plus. 75 km. La balade devait être extra, avec des pauses interessantes: les ruines jésuites de Santa Ana, puis San Lorenzo, et finalement celles de San Ignacio. La balade aurai pu être interessante, seulement la pluie s'est invitée. Fine la premiere heure, puis batante pour le reste de la journée...
A une pause dans une station service le temps de refaire un ptt plein d'energie : Coca Cola, et donuts puis un cafe parce qu'il fait vraiment froid, le themometre ne décole pas des 15º depuis ce matin... 2 jours plus tot, il ne descendait pas en dessous de 30º .... C'est d'autant plus rageant que les hotels ou je suis passe les 2 derniers jours ont une belle piscine extérieure ....
La rencontre du jours, un bus d'etudiants interessés par mon apendice qui me sert à me déplacer. Ils m'ont demandé mon e-mail, on vera bien ce que ca va donner.

Enfin, les prévisions pour demain ne sont pas glorieuses non plus, je vais probablement rester un jour de plus a San Ignacio... et plus que 240km avant les chutes d'Iguazu.

Dans cet hotel, l'accueil est chaleureux. Partage du repas du soir, une specialité locale: une poudre d'oeuf et de farine cuite, avec un maté au lait. Le goût assew neutre, mais ca cale bien :-)

Bientot des photos, c'est promis

jeudi 28 mai 2009

Pire que le vent de face

C'est le sable... De Carlos Pellegrini à la route 12, il y a plein de sable et environ 140km. C'est la route 40 puis 41 qui traverse l'esteros (marais). Sur le sable, avec le vélo chargé, la roue s'enfonce jusqu'à la jante. Heureusement, il y a des portions où le sable est moins profond, ou c'est de la terre bien dure. Sinon, pas le choix, il faut pousser, pousser, pousser. Parfois c'est une courte portion, parfois c'est plus long ... Et la transition est souvent brutale... En plus, la roue arrière d'humeur joueuse sur le sable. Elle veux absolument dépasser la roue avant... Tantôt par le côté gauche, tantôt par le côté droit, et même une fois par dessus. J'ai quand même réussi les 55km le premier jour, et 55 le suivant avec une moyenne de 9km/h. Les conditions sont difficiles pour la mécanique, et voila la première casse: l'attache du porte bagage avant a lâché le premier jour. Pas trop grave, pas de réparation, j'ai juste un peu avancé le porte bagage. l'objectif du premier jour: l'intersection avec la route 41. Objectif atteint à la tomber de la nuit. Rapidement, je monte la tente, et je cherche ma frontale, que je ne trouve pas. Les propriétaires de l'hôtel m'ont presser a remballer mes affaires, du coup, je ne sais plus dans quelle sac je l'ai mise. Je fais donc ma cuisine dans le noir absolue, mais mon risotto à l'oignon est plutôt réussi, j'avais faim. Monter et descendre du vélo, parfois plusieurs fois par minutes, ça épuise et ça creuse.

Départ le lendemain vers 9h30, je prendrai mon ptt dej un peu plus loin sur la route. J'avance plutôt bien, peu de sable, je fais ma pause ptt dej, 15min, des chocos pops au café, puis reparts, optimiste et là à peine deux tours de roue et c'est un rayon de la roue arrière qui lache ... forcement, un de ceux de la roue libre... Décharger le vélo, sortir les outils, démonter la roue, démonter le pneu, changer le rayon, remonter le pneu, gonfler le pneu ( ça prend du temps pour atteindre les 4.5bars), remonter la roue, 1h15 top chronos, et 2 voitures qui m'ont dépassées en me demandant si j'avais besoin d'aide... Le plus long c'est le réglage de la tension des rayons ... Enfin, j'arrive a un voile acceptable pour poursuivre. le sable a rapidement refait son apparition, et le reste de la journée ressemblera à la journée de la veille, pousser, pousser, pousser. Je m'arrête dans une ferme sur le bord de la route pour faire le plein d'eau. Le fermier est habille traditionnellement, un ptt bout de causette, et me voila reparti. Il me dit qu'il ne reste qu'une heure de sable et après c'est praticable. J'ai juste oublie de lui demander si l'heure c'est en voiture, a cheval ou a pied... Ça sera le portion ou j'aurai marche le plus... au moins 1h30 pour atteindre un revêtement praticable. Et toujours un bon 30º. Le ciel est clair, je me pose pour le coucher du soleil, et je prends l'option d'une navigation de nuit. Après une bonne plâtrée de pâtes, je m'enroule dans ma bâche pour me protéger de l'humidité, et j'observe le plus beau ciel étoilé que j'ai vu depuis longtemps. La nouvelle lune était hier ou avant hier, donc la seule lumière provient des étoiles ... J'ai essayé de prendre des photos, mais ca n'a rien donné¡ je garderai ca pour moi.

A une heure du mat, je remonte sur mon vélo, à allure réduite, j'adapte la vitesse a la visibilité, et patatras, je m'enlise dans du sable, pas pour longtemps, mais ca ne me rassure pas sur la qualité de la route. Plus loin c'est les cailloux qui me feront descendre du vélo pour pousser un peu plus. Il ne s'agit pas de casser encore plus de matériel. Le paysage change un peu, qqn arbre puis des parcelles de forêts, et enfin la route 12. il est 5h du mat. je suis fatigue, et ne me sent pas l'humeur de partager la route avec du trafic. En 2 jours j'ai croise au maximum 10 voitures. Je me pose pour une sieste de 2heures jusqu'au lever du jour. Une belle journée en perspective, avec un bon ptt dej qui m'attend a Ituzaingo. Mais avant le soleil, un brouillard bien épais. 30 km encore a courir et enfin l'entrée de la ville. Objectif atteint a 9h, et un bon petit dej...

Journée à Ituzango et visite de la centrale hydro-electrique et me voilà reparti le lendemain pour une belle étape de 100km pour rejoindre Posada. Une journée de break, nettoyage réglage du vélo, et demain je reprends la route pour San Ignacio via Santa Ana et les ruines jesuites. Encore 300km avant d'atteindre Iguazu. Et c'est pas de la tarte. 300 km de montes et de descentes...

Au comteur déjà 1066 km !!!

samedi 23 mai 2009

Esteros del Iberá

Je suis à Carlos Pellegrini, un petit vilage au milieu d'une reserve naturelle. Un lagne qui héberge 300 espèces d'oiseau, plein de plante, 2 especes de crocodiles (Yacarú), des rongeurs gros comme des labradors, et de jolie anaconda de 7m. Bon celui que j'ai vu ne faisait que 2m, en plus cache dans la végétation...
Au programme des 3 derniers jours: Tour en barque à moteur sur le lac, une petite excursion pour voir les singes, et un tour à cheval, mais juste pour dire que j'ai fait du cheval ici... un aller retour de l'hotel à un milieu d'un champ. Seul avantage, la selle est de pea de mouton, donc beaucoup plus confortable que ma selle de velo...
Le vent du nord souffle encore, ca fait 4 jours d'affilés maintenant, et la météo est en train de changer. La pluie est annoncée pour demain et après demain, juste qd je voulais partir. En plus c'est une piste en sable pdt les 20 premiers km, donc je vais marcher et pousser mon velo. Possada est à 200km, j'espere pouvoir le faire en 4 jours. Sur la route il y a des estencia où je pourrai me ravitaller en eau.
J'écris d'un PC chez un particulier, c'est assez étrange. La connection est plutot lente, je publierai qqn photos dès que j'arrive à Possada.

jeudi 21 mai 2009

une journee sans ...

Un journée comme on voudrai qu'il ne nous en arrive jamais... La matinée commence fort, premier coup de stress, oú sont les clefs du cadenat ....  Après 5 - 6 aller-retour entre la chambre et le vélo, je les retrouve sous la premières sacoches que j'ai descendu ... Bien voila 15 min de perdu.
Mauvais plan 2 : j'ai mal refermer le camel bag, et l'appareil foto est dans le sac... plus de peur que de mal, la housse a tout pris, l'apareil photo est même pas humide. et voila 15 min de perdu de plus ...
Mauvais plan 3: la météo. Bon je ne vais pas trop me pleindre. A 1 mois de l´hivers il fait 30º, à 10h du mat. Non le problème c'est le vent ... de face ... et 80 km à faire avant la destination. Un petit 4 bf... juste assez pour empêcher de dépasser 22km/h en descente .... Bon, fo y aller.  En plus, l'espérience des jours de vent précedent, c'est qu'il se calme vers 16h, lorsque j'arrivais. 50 petits kilometre le matin pour arriver dans un petit village pour dejeuner, sauf qu'il n'y a rien sauf un Kiosko, donc mon lunch se resume a 1L de coca-cola, 4 patisserie au dulche de leche, et un alfajore... Pas très equilibré tout ca, pas grave, ma revenche ce soir sur un Biffe de lomo (pour ceux qui connaissent...) Bon j'en profite pour faire une vrai pause, il ne me reste plus que 30 km a courir,  sans vent c'est jouable en moins de 2h. J'attends donc 16h pour repartir, mais le vent est joueur, et semble encore plus fort que le matin... Je finis par arriver à Mercedes juste avant le coucher du soleil, je me rends à l'adresse de l'hotel indiqué par footprint, et là on arrive au mauvais plan numéro 4: l'adresse n'est pas bonne ......
Finalement, une personne dans la rue me renseigne bien et je le trouve assez rapidement. Après une journée de 80km, vent de face et 30º, je ne veux qu'une chose, une bonne douche et un biffe de lomo.
L'hotel est en réalité une auberge de jeunesse, je prends finalement mon abonnement, et ca m'ouvre plein de ristourne pour le reste de mon voyage... En plus il y a un pakage tout à fait abor....
Mauvais plan 5: tou viens de disjoncter dans le cyber cafe .... j'ai presque tout perdu.

C'est tout pour ce soir, je vais manger mon biffe de lomo ...

lundi 18 mai 2009

oufff une pause!

Finalement le météo m'a contraint à rester 2 jours de plus à Colón. C'est pas de chance parce qu'il n'y a pas vraiment d'activité par temps de pluie... Du coup, j'ai aussi abandonnée l'idée de passer par le parque national el Palmar. Dans la boue, ça n'aurait pas été terrible. En plus il y a 9km de route de terre pour arriver au coeur du parc, j'ai testé 4km de ce type de route en rejoignant la route 14, et c'est pas de la tarte. La roue arrière à tendance à s'engluer dans la boue, quand ce n'est pas la roue avant qui décide que la ligne droite n'est plus à son goût ... Enfin la route 14.... tout se passe plutôt bien, le revêtement est de bonne facture, et une belle bande d'arrêt d'urgence me permet d'éviter le trafic. J'y passe même plus de temps que sur la route. Seule contrainte, des bandes de ralentissement toutes les 20s, pour éviter que les voitures fassent comme moi. Le vélo va tout seul, sans effort, je me déplace entre 20 et 35 km/h... décidément, les premiers tours de roue de retour en argentine sont plutôt agréable. La route? la pause, je ne sais pas trop. Je m'arrête dans un Motel sur la route après 60km de parcourus. Ubajay, une petite ville le long de la route nationale sans intérêt touristique particulier. Le lendemain, c'est 93km que je fais parcourir, toujours avec la même facilité. Au départ mon objectif était La Criolla, mais tout aller trop bien, je continue, sauf que depuis Concordia, la bande d'arrêt d'urgence n'est plus praticable, je dois donc composer avec les mastodontes de 20m et qqn tonnes de plus que moi. Heureusement la visibilité est bonne et on voit très loin, ce qui laisse largement le temps aux chauffeurs de camion d'anticiper un manoeuvre de dépassement. enfin, pour ceux qui n'auront pas eu leur litre de bière au repas de midi.... qqn frayeurs qd même. Il y a qqn défaut de conception chez l´homme. On voit tout ce qui ce passe devant, et on entend tout ce qui passe devant mais rien derrière. Les camions qui nous assourdissent, je les entends seulement quand ils sont à ma hauteur, et jusqu'à ce qu'ils soient loin devant. Je me suis fait surprendre qqn fois. L'après midi a donc été surtout stressante. Je m'arrête au niveau de la bifurcation vers Federation, dans un motel sympa. 93km de parcourus. Après le stress de l'après midi, je me dis qu'il faut partir le plus rapidement possible de cette nationale. Un coup d'oeil sur la carte, et rien de possible avant Mocoreta. Voila donc l'objectif de la matinée. Sauf que la météo en aura décidé autrement. Un bon vent de face, un bon 4 beaufort... Arrggg, trop difficile d'avancer, je me traîne max a 17km/h sur des portions de route où j'aurais fait du 35km/h hier... Mocoreta sera finalement ma destination de la journée. A peine arrivé, le vent tombe, mais l'effort a été intense. Le trafic un peu plus calme, nous sommes samedi. Plus qu'un jour sur la nationale, et ensuite ça devrait être plus calme. qd même 63km de réalisé.
Le dimanche, l'objectif du jour est d'atteindre au pire le croisement avec la 119, au mieux Curuzú Cuatiá. Le vent sera aujourd'hui encore de la partie. J'atteins finalement l'intersection a 16h ... Il reste encore 40km a parcourir avant Curuzu, ça sera donc pour demain. Une pause à la station, un coca, une glace, le plein d'eau ... et pourquoi pas utiliser le gonfleur pour refaire le niveau .... le dernier date de 600km ... Sauf que le système est tellement efficace, que je n'arrive pas à gonfler les pneus, au contraire, je les dégonfle un peu ... Enfin, ça ira bien pour les 40km qui reste à faire. Je reprends la route et la, pur bonheur, le vent est tombé, et la moyenne augmente. Je m'arrêterai à 20km de la ville pour un nuit en camping sauvage, après 80 km de parcourus....
Aujourd'hui petite étape. La nuit il y a eu 2-3 averses, et ce matin, l'air est chaud et humide. Ça sent la pluie !!! petite étape qui me conduit aujourd'hui à Curuzú Cuatiá. Une petit ville militaire. et comme je l'ai prédit, il pleut. De toute façon, j'ai besoin d'une pause. Les jambes çà va plutôt bien lorsque je pédale, mais je sens les courbatures quand je marche, malgré les étirements ....

Km Cumulés: 720

lundi 11 mai 2009

Quelques photos

La route vers Fray Bento

Le pation de l'hotel qui a 150 ans


La tente qui sèche dans la chambre


Un monument dédié à Liebig à Fray Bento



Et enfin le pont de qui relie Paysandú à Colón

De retour en Argentine

J'ai fait mes adieux à l'Uruguay avant hier. Je voulais passer la frontière à Fray Bento, mais l'Argentine a fermé la frontière de son côté. La raison, une vague histoire de polution de la rivière par une des usines de production de cellulose. Résultat, 130km de plus de coline, et cette fois, pas une seule ville sur le trajet. 2 nuits de camping sauvage sur le bord de la route, enfin presque. La première nuit c'est bien à l'écart de la route, le long d'une route qui mene à une estancia. La seconde, carement dans le jardin d'une ferme ( avec l'autorisation du propriétaire quand même).
A Fray Bento, j'ai pris le temps de visiter le musee de la revolution industrielle. A vrai dire, c'est l'histoire de la frigorification industrielle dans la production de "Corned Beef". Une invention d'un certain Monsieur Liebig... Départ assez tard, 14h, pour 2h de velo. L'étape est assez facile, et 32km avaler sans trop de difficultes. La journée suivante est sans vraiment d'interêt, toujours des colines et des champs. Tout de même 70km de parcourus. La dernière étape, difficile, une petite baisse de forme. Une pause est necessaire tous les 3-5km ... et je decide, pour pouvoir me poser plus tôt de ne pas faire le détour vers la ville de Pausandú et de passer la frontière. Enfin du sommet de la dernière coline, je peux voir le pont .... qui est en forme de coline ... il monte, pour redescendre de l'autre côte. Enfin, les formalites de douane terniner, je franchis la rivière... Encore 7 km avant Colón, mon objectif de la journée.
Arrivé en ville, faut gérer l'urgence : un petit Beef de Lomo pour remonter le moral :-). Je me trouve une hosteleria (recommande par FootPrint) et pose enfin mes valise pour 2 jours complets de repos.
Colón est une ville balnéaire avec de belles plages de sable, et des Termas. Rien a voir avec ce qu'on connait ici, il s'agit de différentes piscines artificielles avec de l'eau tout a fait banale, chauffée probablement au mazout .... Enfin, c'est qd même agréable de s'y baigner par 30 degres et un soleil de plomb ...

L'étape de demain: Le Parc National de Palmer, 51km.

Km Cumules: 410

dimanche 3 mai 2009

Point d'étape: Carmelo, URUGUAY

Hola,

Voila tout c'est bien passe. Départ de Buenos Aires sans le moindre problème, mon vélo tout équipé à fait la traversé avec les voitures.
Colonia est en Uruguay, à 3h de ferie de Buenos Aires, c'est une ville d'un autre temps. Des maisons d'un seul etage, style colonial (d'où le nom de la ville) et des arbres pour rendre l'atmosfère encore plus bucoliaque. Je fais donc le tour du quartier historique, retire un peu d'argent liquide, et une fois de plus je suis limité dans la transaction à 2000 pesos (60euros).
Nouvelle monaie, nouveaux repère sur les prix. Ici 1 euros equivaut à 30 pesos... je choisis un resto pour déjeuner. presque 1h avant d'être servi.
Je prends donc la route vers 15h, je m'arrete à la premiere station service pour faire le plein, hey oui, fo un peu d'essence, meme en velo, mais c'est pour faire marcher le rechaud. Je me renseigne aussi sur la route de Carmelo, et me voila parti pour l'Aventure.

Initialement, j'avais choisit San Pedro, parce qu'il y a un camping, mais 6km de detour c'est trop pour aujourd'hui. Je poursuis ma route vers Carmelo, mais la nuit tombe vite et tôt. Je vois le soleil de plus en plus bas dans le paysage et nul part ou m'arrêter, tous les champs sont cloturés à 3 m de la route. Ouf un peu plus loin une élise desafecté, un peu en retrait de la route. J'ai juste le temps de monter la tente avant la nuit noire. Le repas du soir: pâtes. Heuresement le ciel est splendide. Un ciel de traversée à la voile. C'est la demi-lune.

Le lendemain, 4h pour preparer mes affaires, je ne veux pas avoir à porter de sac à dos autre que ma reserve d'eau. resultat, la tente voyage sur le porte bagage avant. En route pour Carmelo, sauf aue j'ai fiam, après 4h de préparation, au je ne veux pas me faire surprendre par la nuit, et la route est plus difficile (monte, descend, monte, et redescend), Je prends donc la biffurcation pour Concilla. Un petit vilage recommande par "foot print" ensuite il me restera la journée suivante pour parcourir les 40km qui séparent Conchilla de Carmelo. Me voila donc sur le detour, une route en terre, et une fringale. j'entame mon premier pot de "Dulce de Leche". En entrant à dans le vilage, je demande la direction pour le camping, c'est au port, à 8km .... Une distance négligeable en voiture, mais pas en velo, surtout qu'il faut faire le chemin inverse. Bon finalement je vais au camping, cherche un emplacement simpa, devant 2 voiliers (c'est au bord du Rio del Plata), et voila au'un groupe de buenos aires me propose un sandwich et une saucisse, le tout accompagné d'un verre de biere. Les argentains sont vraiment accueillants, même loin de chez eux. Une nuit donc tranquille au camping.

Ce matin je me suis leve tot, j'ai été un peu plus efficace pour preparer mes affaires, tout est bouclé en 30 min, sauf la tente, qui est mouillée, entre la rose et la condensation, il faut attendre qu'elle seche.
Je mets les voiles finalement à 10h30, pour 4h et 44km de route qui montent et descendent mais globalement montent. Au fur et a mesure des km, la route descend de moins en moins mais monte toujours. Me voila à Carmelo. Un petit vilage sympa qui ressemble un peu à Colonia. Cette nuit ca sera hotel 3 etoiles (25euros la nuit). En plus j'y ai trouvé le cybercafe :-)

Voila une photo de la rue principale de Carmelo.

A droite, une belle jolie maison


En dessous, c'est la plage




Livre de bord :
Etape du jour: 44km
Cumul: 102 km
Durée de l'étape : 4h
Vitesse moyenne efficace: 15km/h (max 40km/h)
Dénivelé jour: 348 m
Démivelé cumulé : 500m
Temperature 28-32deg
Soleil